Stéphanie Muzard Artiste engagée et paysanne bio

Stéphanie Muzard  Artiste engagée et paysanne bio

alerte rouge schiste, la France "gazée" !

appel urgent de cotisation à l'association NGSPC et infos sur les 14 permis qui viennent d'être accordés...:





https://viewer.zoho.com/docs/cAFdbf

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Après la Lorraine, permis de gaz de schiste octroyé, après l'île de France et l'Aquitaine :


Gaz de schiste: un maire dénonce une menace d'exploration en banlieue parisienne


PARIS - Le maire EELV de Sevran (Seine-Saint-Denis) et élu régional, Stéphane Gatignon, a vivement dénoncé mardi le lancement d'une enquête publique dans la plus grande discrétion pour la délivrance d'un permis de recherches de gaz de schiste qui toucherait sa ville, notamment.

Le 19 janvier dernier, dans la plus grande discrétion, a été lancée une enquête publique concernant la délivrance de permis exclusifs de recherches d'hydrocarbures ayant recours au gaz de schiste. Elle concerne 12 permis en France (10 en Ile-de-France, un en Lorraine et un en Aquitaine) explique l'élu écologiste dans un communiqué.

Il a mis dans son communiqué un lien renvoyant vers le ministère de l'Ecologie qui dévoile les documents mis à disposition du public dans le cadre de l'instruction de demandes de permis exclusifs de recherches d'hydrocarbure.

Dans la liste fournie par le ministère figure une demande d'exploration dite Permis de Chevry où le président d'une société, Poros SAS, demande un permis exclusif de recherches d'hydrocarbures liquides ou gazeux pour une durée de 5 ans, portant sur des parties de Seine-et-Marne, Seine-Saint-Denis et Val-de-Marne.

La commune de Sevran est concernée par le permis dit de +Chevry+. Il touche près de soixante communes parmi lesquels Sevran, Vaujours, Clichy, Montfermeil, etc. Ni moi-même, ni aucun de mes collègues, maires de communes concernées n'ont été préalablement consultés, pas plus que les populations, a déploré Stéphane Gatignon.

Il a rappelé les nuisances se rapportant à l'exploitation d'hydrocarbures: norias de camions, bruit lié aux forages et aux explosions.

Viennent ensuite les probables pollution de l'air et contamination des nappes phréatiques y compris au-delà du seul périmètre immédiat des forages, selon l'élu.

Nous sommes à quelques jours de la fin de l'enquête. Exigeons le droit d'expression dans le cadre de la procédure en cours, et préparons la mobilisation qui s'impose pour la mise en suspens de ce dossier, a-t-il appelé.


(©AFP / 14 février 2012 18h15) 


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Amis des Landes : bienvenu au club des "gazés"! Tout ce que n'interdit pas la loi Jacob est autorisé.... donc vive l'hydrofracturation ou tout autre nom...


Landes : des hydrocarbures sous le sol de Donzacq ?

Une enquête publique a été discrètement lancée pour la délivrance d'un permis de recherche.

Google maps

Google maps

Stéphane Gatignon, le maire Europe Écologie-Les Verts de Sevran (Seine-Saint-Denis), s'est ému hier du lancement d'une enquête publique, « dans la plus grande discrétion », pour la délivrance d'un permis de recherche de gaz de schiste qui toucherait sa ville.

Il a indiqué que le ministère de l'Écologie avait mis en ligne les documents relatifs à plusieurs autres permis sur le territoire français. Vérification faite, on constate que le ministère a effectivement « mis à disposition du public » les documents portant sur 14 dossiers de recherche d'hydrocarbures liquides ou gazeux, dont l'un pour la commune de Donzacq, dans les Landes, dans l'arrondissement de Dax.

Cette procédure de consultation a démarré le 19 janvier, pour une durée d'un mois. La demande de permis englobe 218 kilomètres carrés. Elle émane de quatre sociétés, Egdon Resources (New Ventures) Ltd, Sterling Resources (UK) Ltd, Nautical Petroleum Plc et Malta Oil Pty Ltd.

Sans fracturation

Le communiqué du ministère spécifie bien que, dans l'hypothèse où les permis seraient accordés, les recherches d'hydrocarbures se feraient sans recours à la technique de la fracturation hydraulique, bannie en France depuis la loi du 13 juillet 2011

source : http://www.sudouest.fr/2012/02/15/du-gaz-de-schiste-sous-le-sol-de-donzacq-633902-3350.php


Marseille, Provence et Corse, "gazées ". ... fracking salute !
voir les cartes ici :
http://www.nongazdeschisteinfos.com/

PERMIS RHONE MARITIME

Daniel Lieppe, Président des Amis du Parc National de Port Cros s'interroge sur la légalité du permis. Noble Energie n'est qu'une simple boite aux lettres domiciliée pour 18 euros/mois. Elle ne publie pas ses comptes et son capital social de 40 000 euros est dérisoire pour faire face à ses engagements financiers ; lesquels conditionnent l'octroi d'un Permis Exclusif de Recherches.


 

Michel Berthelot communique et rappelle : TRAFALGAR DU SCHISTE les 7 et 8 AVRIL 2012

Gaz, pétrole : un Texan veut forer au large de Toulon 

Les opérateurs pensent trouver du pétrole ou du gaz dans le périmètre du permis Rhône Maritime. Un puits d'exploration pourrait être foré pour un coût d'environ 35 millions de dollars. Le renouvellement d'un permis de prospection est demandé à moins de 30 km du littoral et aux portes du sanctuaire Pélagos. Les ministères de l'Industrie et de l'Écologie devront trancher.


La course au pétrole et au gaz s'accélère. La société texane Noble Energy veut lancer une campagne de prospection sismique en 3D près du littoral méditerranéen, au large de Marseille et d'Hyères, jusqu'aux portes du sanctuaire des cétacés Pélagos - à moins de 30 km des côtes et en pleine zone de protection écologique. Les opérateurs espèrent réaliser des forages d'exploration ou d'exploitation entre 1 600 et 2 600 mètres de profondeur (soit jusqu'à 1 000 m de plus que le puits Macondo, dans le golfe du Mexique).

Déjà une première campagne

Les recherches d'hydrocarbures se sont intensifiées en Méditerranée depuis 2010. D'importantes couches de sédiments pourraient s'être transformées en pétrole ou en gaz à proximité des côtes françaises, dans le delta du Rhône. En 2002, un arrêté du ministère de l'Industrie avait accordé un permis exclusif de recherche d'hydrocarbures, dit « Rhône Maritime », renouvelé une première fois en 2006, et valable jusqu'au 19 novembre 2010. Le 29, le Bergen Surveillor avait appareillé pour une campagne sismique, a priori dix jours après la date d'expiration légale du permis.Cette campagne de prospection, jugée dangereuse pour les cétacés, avait été dénoncée par WWF, Greenpeace, le sanctuaire Pélagos et des associations de défense de l'environnement.  Mais les résultats de ces récents doivent être encourageants pour la société qui veut prospecter. Une demande de renouvellement du permis jusqu'au 19 novembre 2015 est en cours d'instruction, sur 9 375 km2. Une superficie supérieure à celle de la Corse.

Cette nouvelle campagne de prospection est demandée par Melrose et Noble Energy France SAS, sous réserve de l'acceptation du ministre chargé des mines. Noble Energy, société basée à Houston, Texas, aux États-Unis, a racheté 72,5 % du permis à Melrose. Selon les opérateurs, « tous les éléments nécessaires à un système pétrolifère actif sont potentiellement présents ».

Aucune date

Bientôt des puits d'extraction de pétrole ou de gaz au large de Toulon, Hyères et du parc national de Port-Cros ? La balle est dans le camp des ministères de l'Industrie et de l'Écologie. La date de mi-février était avancée pour un feu vert éventuel. Le ministère de l'Industrie, contacté ces jours-ci, refuse de confirmer cette échéance. D'autres sources font état d'une décision à venir après la manifestation des opposants, prévue le week-end de Pâques. Enfin, les services d'Éric Besson précisent que l'industriel concerné recherche « du gaz et non du pétrole »et qu'il s'est engagé à ne pas avoir recours à la fracturation hydraulique (interdite). Et qu'en Méditerranée, dans le cadre de cette recherche d'hydrocarbures, onze puits ont déjà été forés en zone française. Mais aucun gisement n'a été découvert. « La France et l'Europe ont durablement besoin de volumes non négligeables de gaz naturel »,qui remplace le charbon ou le fioul dans certaines centrales électriques. « Actuellement 98 % de notre consommation de gaz provient de gisements à l'étranger » y compris de gisements offshore, ajoute le ministère. Pas sûr que ces arguments essentiellement économiques suffiront à convaincre les réfractaires. Publié le dimanche 12 février 2012 à 09h11 - 

http://www.corsematin.com/article/gaz-petrole-un-texan-veut-forer-au-large-de-toulon.581196.html




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et pendant ce temps là, actualité du jour :

Christian Vanneste (UMP) évoque la "légende de la déportation des homosexuels"

LEMONDE.FR avec Reuters | 15.02.12 | 08h02   •  Mis à jour le 15.02.12 | 14h57


"Je n'ai pas à revenir sur mes propos, je n'ai tenu aucun propos condamnable", a indiqué Christian Vanneste au "Monde".

"Je n'ai pas à revenir sur mes propos, je n'ai tenu aucun propos condamnable", a indiqué Christian Vanneste au "Monde".AFP/PHILIPPE HUGUEN

Dans une vidéo publiée le 10 février sur le site Internet Liberté politique, Christian Vanneste, député du Nord et membre de la Droite populaire au sein de l'UMP, qualifie l'homosexualité de "refus de l'autre" et cite à titre d'exemple "la fameuse légende de la déportation des homosexuels". "En Allemagne, il y a eu une répression des homosexuels et la déportation qui a conduit à peu près à 30 000 déportés. Et il n'y en a pas eu ailleurs. (...) Il n'y a pas eu de déportation homosexuelle en France", déclare-t-il.

GAYLIB S'INDIGNE

GayLib, mouvement de défense des homosexuels associé à l'UMP, a réagi en demandant que le député soit exclu du parti présidentiel. "On ne peut que s'indigner, on ne peut qu'être choqués", a déclaré Catherine Michaud, secrétaire générale de GayLib, assimilant les propos de Christian Vanneste à ceux de Jean-Marie Le Pen qualifiant les chambres à gaz de "point de détail". Pour elle, Christian Vanneste "a toute sa place au Front national".

L'historien Mickaël Bertrand, qui a dirigé un ouvrage collectif sur la question (La Déportation pour motif d'homosexualité en France, éditions Mémoire active), estime à 62 en France le nombre de "déportés qui ont été envoyés dans des prisons et des camps allemands en raison de leur homosexualité". "Cela ne signifie pas pour autant que des centaines d'homosexuels français n'ont pas été déportés en tant que juifs, communistes et/ou résistants", écrit-il sur son blog.

"BOURRAGE DE CRÂNES"

Interrogé au sujet de sondages indiquant qu'une majorité de Français est favorable au mariage homosexuel, le député du Nord répond que ce résultat est le fruit d'un "bourrage de crânes" dû au fait que les homosexuels sont surreprésentés dans le monde médiatique, ce qui leur permet de faire progresser leurs idées avec un "art consommé de la déformation systématique des faits".

----------- après les ROMS,  les homosexuels, la civilisation supérieure, l'islamophobie, les immigrés, les gauchistes, les fonctionnaires, c'est à qui le tour?????? en parlant de "bourrage de crâne", terme approprié et adéquate, en référence à la torture et les lavages de cerveaux, les victimes des expériences des eugénistes apprécieront : 




Un amour à taire - bande annonce par Nefred

Discrimination et déportation des homosexuels sous l'Allemagne nazie


http://fr.wikipedia.org/wiki/Discrimination_et_d%C3%A9portation_des_homosexuels_sous_l%27Allemagne_nazie

 

Expérimentation médicale nazie

http://fr.wikipedia.org/wiki/Exp%C3%A9rimentation_m%C3%A9dicale_nazie

La persécution des homosexuels sous le Troisième Reich


http://www.ushmm.org/wlc/fr/article.php?ModuleId=74

Mort du dernier "triangle rose", déporté à Buchenwald pour homosexualité

LEMONDE.FR avec AFP | 04.08.11 | 08h44   •  Mis à jour le 04.08.11 | 10h57


Rudolf Brazda, le 1er juin 2010, dans son domicile en Alsace.

Rudolf Brazda, le 1er juin 2010, dans son domicile en Alsace.AFP/FREDERICK FLORIN

Le dernier survivant connu des "triangles roses", ces déportés pendant la seconde guerre mondiale pour homosexualité, Rudolf Brazda, est mort mercredi 3 août à l'âge de 98 ans, indique son entourage dans un communiqué. Il est mort paisiblement dans son sommeil, indique son entourage, dans un établissement hospitalier pour personnes âgées à Bantzenheim, en Alsace.

Les obsèques de cet homme naturalisé français en 1960 auront lieu la semaine prochaine à Mulhouse. "Conformément aux dispositions de son testament, sa dépouille sera incinérée et ses cendres déposées à côté de celles de son compagnon de vie de plus de 50 années, Édouard Mayer, décédé à Mulhouse en 2003", ajoute le communiqué.

DEUX FOIS CONDAMNÉ POUR "DÉBAUCHE"

En avril, Rudolf Brazda avait été fait chevalier de la Légion d'honneur. Il faisait partie des quelque 10 000 personnes déportées sous Hitler en raison de leurs tendances sexuelles, les nazis considérant l'homosexualité comme une épidémie dangereuse pour la perpétuation de la race. Il avait été déporté au camp de concentration de Buchenwald où il porta le triangle rose.

Né en 1913 en Saxe dans une famille tchèque germanophone, Rudolf Brazda avait été condamné en 1937 à six mois de prison pour "débauche entre hommes", puis expulsé vers la Tchécoslovaquie. Là, après l'annexion des Sudètes par Hitler, il avait été à nouveau jugé et condamné pour le même type de faits, cette fois à 14 mois de prison. Cette peine purgée, Rudolf, considéré comme un récidiviste, est interné au camp de concentration de Buchenwald, dans le centre de l'Allemagne. Il y survit à 32 mois d'enfer, grâce à son amitié avec un kapo communiste et à "un peu plus de chance que les autres".

Rudolf Brazda avait gardé le silence sur les motifs de sa déportation jusqu'en 2008 mais l'annonce cette année-là de l'inauguration d'un mémorial aux victimes homosexuelles du nazisme à Berlin poussa des proches à l'inciter à se faire connaître.



A mes ami(e)s et ma famille HOMOSEXUELS :
je vous AIME !


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SINON, quand même une bonne nouvelle MONSANTO vient d'être condamné, (vous savez Monsanto, > bayer> crop sciences>ig Farben...etc... l'agent orange, le gaz zyclon B et tout l'arsenal historique "bio-logique" des biotech-no-logiques) :

Monsanto, jugé responsable de l'intoxication d'un agriculteur, veut faire appel

Par LEXPRESS.fr, publié le 13/02/2012 à 14:07, mis à jour à 18:00


Monsanto, jugé responsable de l'intoxication d'un agriculteur, veut faire appel

Monsanto a été jugé "responsable" de l'intoxication à l'herbicide en 2004 d'un agriculteur français, ouvrant la voie à des dommages-intérêts.

AFP

Le céréalier avait attaqué le géant américain en 2004 pour une intoxication à l'herbicide. La firme américaine a d'ores et déjà annoncé qu'elle envisageait de faire appel. 

Une première en France. Le géant américain Monsanto a été jugé "responsable", ce lundi à Lyon, de l'intoxication à l'herbicide en 2004 d'un agriculteur français, ouvrant la voie à des dommages-intérêts. Le tribunal "condamne Monsanto à indemniser entièrement Pierre François de son préjudice", précise le jugement du tribunal.  

Mais la firme américaine agrochimique a d'ores et déjà annoncé qu'elle envisageait de faire appel. "Il nous semble qu'il n'existe pas d'éléments scientifiques suffisants qui démontrent le lien de causalité entre une éventuelle intoxication au chlorobenzène et les problèmes de santé de M. François. Nous envisageons de faire appel", a déclaré Yann Fichet, directeur des affaires institutionnelles de Monsanto France. 

Le céréalier en invalidité

Le 27 avril 2004, Paul François, un céréalier de Bernac (Charentes) aujourd'hui âgé de 47 ans et invalide, avait reçu au visage des vapeurs de Lasso, un puissant désherbant produit par le leader mondial de l'agrochimie, en ouvrant la cuve d'un pulvérisateur. Il avait été rapidement pris de nausées puis de troubles (bégaiement, vertiges, maux de tête, troubles musculaires...) l'obligeant à interrompre son activité pendant près d'un an. 

En mai 2005, un an après avoir inhalé les vapeurs, des analyses relevaient dans son organisme des traces de monochlorobenzène, un solvant présent pour moitié dans le Lasso, au côté du principe actif, l'anachlore. Trois ans plus tard, celui qui est devenu le porte-parole des victimes des pesticides obtenait en justice que ses troubles soient reconnus comme maladie professionnelle par la Mutualité sociale agricole. Il lançait alors une procédure en responsabilité civile contre Monsanto.  

A l'audience, le 12 décembre 2011, devant la 4è chambre civile du TGI de Lyon, son avocat, Me François Lafforgue a reproché à Monsanto d'avoir "tout fait pour laisser le Lasso sur le marché" alors que sa dangerosité avait été établie dès les années 1980, d'où son interdiction au Canada, en Angleterre et en Belgique. Ce n'est qu'en 2007 qu'il a été retiré du marché français. Selon Me Lafforgue, Monsanto aurait aussi manqué à son "obligation d'information" en ne détaillant pas la composition du produit sur l'étiquette, et en n'avertissant pas des risques liés à l'inhalation, ni de l'obligation de porter un masque.  

José Bové dénonce des "pressions permanentes"

Le jugement du tribunal de grande instance de Lyon doit conduire à "revoir le problème des autorisations d'herbicides" en France, selon le député européen écologiste José Bové. Soulignant que la reconnaissance de la responsabilité de Monsanto "constitue une première de l'histoire de cette firme en France", José Bové a rappelé que l'herbicide incriminé dans ce procès "avait été classé comme dangereux depuis les années 1980". Mais, a-t-il ajouté, "il n'a été retiré de la circulation qu'en 2007 en France, ce qui montre bien que le problème des autorisations de ces herbicides est complètement à revoir et que les pouvoirs publics ont laissé traîner au-delà des risques reconnus au niveau international". 

L'élu européen du parti Europe Ecologie-Les Verts (EELV) qui pourfend le producteur américain de produits phytosanitaires et de semences OGM depuis de nombreuses années, a une nouvelle fois dénoncé "les pressions en permanence, de Monsanto, pour maintenir et faire homologuer ses produits". Selon lui, le débat sur cette question concerne les Français "au premier titre en ce moment puis que nous attendons le dépôt d'une nouvelle clause de sauvegarde contre le Mon 810", ce maïs OGM commercialisé par Monsanto. Le gouvernement a promis de déposer une nouvelle clause de sauvegarde pour interdire la culture de maïs transgénique avant les semis de printemps, après l'invalidation de la précédente clause par le Conseil d'Etat fin novembre. 

Avec
source http://www.lexpress.fr/actualite/societe/justice/monsanto-juge-responsable-de-l-intoxication-d-un-agriculteur-veut-faire-appel_1081821.html






15/02/2012
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